En salle ou en plein air, découvrez à travers une riche sélection de projections le processus de création de l’artiste, son atelier et son influence sur les cinéastes de son temps.

« La vie commence demain », Nicole Vedrès (1950)

« La vie commence demain », Nicole Vedrès (1950)

22h-23h30

Un journaliste suit un jeune provincial débarqué à Paris. Ce dernier mène une enquête sur ce que serait la vie demain en interviewant des contemporains célèbres. Le documentaire dresse les portraits d’hommes célèbres, artistes et intellectuels : Jean-Paul Sartre, André Gide, Le Corbusier, Jacques Prévert... Et un certain Pablo Picasso. .

Auditorium
Durée : 1h32
 

« Portraits », Robert Picault (1951)

« Portraits », Robert Picault (1951)

0h-0h30

En 1951, à la villa La Galloise à Vallauris, le céramiste Robert Picault filme en amateur Pablo Picasso, sa compagne Françoise Gilot et ses enfants Claude et Paloma. D'autres proches de Picasso sont aussi présents : l’écrivain Michel Leiris assistant à une corrida, Robert Picault et sa femme, le peintre Édouard Pignon et la journaliste Hélène Parmelin. Ce film montre de saisissantes images de l’atelier de Picasso à cette période. S’y trouve notamment la sculpture en plâtre « La Petite Fille sautant à la corde ».

Auditorium
Durée : 32 min
 

« Le Mystère Picasso », Henri-Georges Clouzot (1955)

« Le Mystère Picasso », Henri-Georges Clouzot (1955)

1h-2h30

« Montrer tous les tableaux qui sont sous un tableau », tel est le souhait que Picasso émet auprès d’Henri-Georges Clouzot au début du film Le Mystère Picasso, réalisé à l’époque où l’artiste vit à La Californie. Ce film donne à voir l’exécution de dessins et de tableaux, au moyen d’un procédé technique innovant. Pour les dessins, la caméra cadre la surface de travail définie par un papier fin tendu sur châssis du côté opposé à celui où travaille Picasso et restitue le résultat de son geste artistique en transparence. Prix spécial du jury du festival de Cannes en 1956, le film est acclamé par la critique.

Jardin (muet) , Auditorium (son)
Durée : 1h18

« Le Testament d’Orphée », Jean Cocteau (1960)

« Le Testament d’Orphée », Jean Cocteau (1960)

2h30-3h50

Dans son dernier long métrage, Jean Cocteau tient son propre rôle, poète traversant le temps et abolissant les frontières, mêlant rêve et réalité dans un monde où règne l'esthétique. Pablo Picasso y fait une brève apparition aux côtés de sa femme Jacqueline, dans le décor des carrières des Baux-de-Provence en interprétant l’ami d’Orphée.

Jardin (muet) , Auditorium (son)
Durée : 1h17

« Pierrot le Fou », Jean-Luc Godard (1965)

« Pierrot le Fou », Jean-Luc Godard (1965)

4h-6h

Ferdinand dit Pierrot le Fou entame avec son amie Marianne une odyssée à travers la France, poursuivis par des gangsters à la mine patibulaire. Chez Godard, les tableaux de Picasso sont fréquents. Dans Pierrot le Fou, cette recherche picturale vient décider le personnage à se peindre le visage en bleu. Scène légendaire pour une rencontre des arts sous forme d’hommage au maître.

Auditorium
Durée : 1h55

« Lion’s Love (…And Lies) », Agnès Varda (1970)

« Lion’s Love (…And Lies) », Agnès Varda (1970)

6h-7h50

Viva, Jim, Jerry sont trois acteurs vivant dans une maison louée sur la colline de Hollywood. À la télévision, ils découvrent l'assassinat de Robert Kennedy alors que leurs amis ont d'autres problèmes. Dans « Lion’s Love », Agnès Varda joue sur le tableau vivant et invite ses acteurs à poser nus pour imiter une estampe de Picasso tirée de la Suite Vollard.

Auditorium
Durée : 1h47